[Français ci-dessous] The caravan team visited the Dominican Centre for Human Resources Development in Ibadan, which is developing a 30 hectare eco-organic farm inspired by the Songhai project’s integrated agroecological model in Benin.
A session about sustainable agriculture was organized in the centre, where members of the caravan team and invited guests gave short presentations about agroecological principles, seed sovereignty, sustainability of yam systems and soil fertility regeneration with organic techniques. The event was attended by trainees, interns and staff members of the centre, as well as by students and curious locals.
The visit included a tour of the centre, guided by the director father Fortunatus Okeke, where the team could see the fields with cassava, maize, yam, as well as integrated poultry, aquaculture, and beekeeping facilities.
The centre also trains farmers in agroecological approaches and intends to establish stronger links with researchers of the nearby IITA and universities. The centre also intends to implement organic agroforestry systems.
Father Fortunatus is concerned about the future of Nigeria, at least as much he is enthusiastic about agroecology. He is motivated to learn and implement better solutions to improve the food sovereignty of the country, which already has the largest population of the continent and one of the highest population densities in the world. “With a growing population and an increasing rate of rural exodus, how will we feed ourselves in the coming years?”.
Despite rich in natural resources, Nigeria is currently unable to feed itself and boasts high unemployment rates and an urban environment plagued by violence and poverty.
L’équipe de la caravane a visité le Centre dominicain pour le développement des ressources humaines à Ibadan, qui développe une ferme éco-organique de 30 hectares inspirée du modèle agroécologique intégré du projet Songhai au Bénin.
Une session sur l’agriculture durable a été organisée dans le centre, où les membres de l’équipe de la caravane et les invités ont fait de courtes présentations sur les principes agroécologiques, la souveraineté des semences, la durabilité des systèmes d’ignames et la régénération de la fertilité des sols avec des techniques biologiques.
L’événement a été suivi par des stagiaires et des membres du personnel du centre, ainsi que par des étudiants et des locaux curieux. La visite comprenait un tour du centre, guidé par le directeur, le père Fortunatus Okeke, où l’équipe a pu voir les champs de manioc, de maïs, d’ignames, les installations intégrées de volaille et d’aquaculture, et l’apiculture. Le centre forme également les agriculteurs aux approches agroécologiques et entend établir des liens plus étroits avec les chercheurs de l’IITA et des universités voisines. Le centre a également l’intention de mettre en place des systèmes d’agroforesterie biologique.
Le père Fortunatus est préoccupé par l’avenir du Nigeria, au moins autant qu’il est enthousiaste pour l’agroécologie. Il est motivé pour apprendre et mettre en œuvre de meilleures solutions pour améliorer la souveraineté alimentaire du pays, qui a déjà la plus grande population du continent et l’une des plus fortes densités de population au monde. “Avec une population croissante et un taux d’exode rural en hausse, comment allons-nous nous nourrir dans les années à venir ?
Malgré la richesse de ses ressources naturelles, le Nigeria est actuellement incapable de se nourrir et se targue d’un taux de chômage élevé et d’un environnement urbain en proie à la violence et à la pauvreté.